[1] Paris, le 10 brumaire an 13, P.o 9bre 1804.
Monsieur,
Notre Savant mineralogiste, M Patrin, ayant traité l'article Filon dans notre Nouveau Dictionnaire d'histoire naturelle, et ayant attaqué votre opinion pour mieux etablir la Sienne Sur ce sujet interessant, m'a fourni l'occasion de lui developer la mienne qui est fort differentes de toutes deux.
Comme J'ose vous impliquer dans cette note, J'ai l'honneur de Vous la communiquer franchement; non Seulement parceque Je crois devoir cet hommage a Votre grande celebrité; mais encore parceque cette note contenant un extrait de toute ma geologie; Je veux la Soumettre a vos profondes lumieres, et vous consulter même en vous contre disant; bien persuadé que l'amour de la Science et de la Verité Vous anime autant que moi , et plus que tout respect humain.
Vos lecons de mineralogie sont, Sans doute, les meilleurs qu'on puisse donner, d'après certain principe qui Se trouve etabli chez tout le monde Savant, comme axiôme fondamental. Mais J'en appele a Vous même, et a tout physicien qui ne veut admettre aucun axiôme Sans preuves Suffisantes. Qui est ce qui a pu ou pourra a Jamais nous prouver que le granit et toutes les pierres quartzeuses Sont des roches primitives? qui est ce qui, dans un mout aussi vague, pourroit voir une vraie definition? n'est il pas evident, au contraire, qu'il n'a eté inventé que comme synonime de indefinissables; et que, pour excuser l'impuissance ou l'on Se trouvoit de donner la moindre explication de ces faits naturels, on a Supposé qu'ils etoient d'une nature et d'une epoque imaginaires.
Je n'ai donc Jamais regardé cet axiome que comme une supposition très gratuite: et depuis tres longtems Je lui en ai Substituté un outre que tout naturaliste doit m'accorder; Savoir, qu'il n'y a point de pierre dqui ne provienne d'une terre préexistante ou d'un sel quelconque. A force d'appliquer cette grande Verité aux nombreuses observations que je n'ai cessé de faire sur l'envelope de la Terre, Je crois etre parvenu a rendre explicables toutes les pierres qui passoient pour ne l'etre pas. Ce qui Vous paroitra bien plus etonant, c'est que le calcaire est le Seul, a mon Sens, qui doive paroitre enigmatique.
A M. Werner Professeur d'histoire naturelle, a Freyberg.
[2] Cependant, nous nous accordons tous a le reconnoitre pour une production de l'ocean: mais J'ajoute que ce sur Sa production exclusive, primordiale, mere de toutes les autres, et consequemment inexplicable; car rien n'est plus mysterieux que l'action des forces Vitales, surtout celles d'une vie minerale dont, Selon moi, le globe etoit alors fortement animé, pour engendrer la terre par la conversion immediate de l'eau.
Les preuves, les details et les consequnces de mon Systême sont dispersés dans la Nouvelle geologie dont J'ai l'honneur de Vous offrir un exemplaire. Daignez l'accepter et la Juger, non après l'etat actuel de la mineralogie, mais en Supposant que cette science n'existeroit pas encore (pardonnez cette etrange supposition) qu'au moins il y aurois lieu, comme Je le crois, Je lui donner quelques nouvelles bases elementaires, pour ensuite y faire cadrer tout ce qu'il y a de vrai ou de positif dans les belles idées et observations dont vous l'avez enrichie.
Car il en est necessairement de même de la theorie de la Terre. Je tiens pour nulles toutes celles qui ont paru jusquá present, et celles qui paroitront , si elles ne sont pas fondées sur quelques uns de mes Nouveaux Principes; quoique moi même je ne les aye etablis que Sur les raisonnemens les plus communs, et dans le langage le plus Vulgaire: Mais encore un coup, c'est a vous que J'en appele; vous avouez Je crois, que Je ne pouvais pas ici me conforme d'avantage a la methode des savans sans deroger tout afair a celle de la nature, au nom de laquelle Je vou[s] prie d'excuser ma franchise ou ma temerité.
En attendant Votre avis et Votre Jugement Sur toutes ces nouveautés, J'ai l'honneur d'etre avec toute l'estime et la consideration possibles, Votre très humble et obeissant Serviteur ./. Bertrand impr. gal. des Ponts et Chaussées.
P.S. Pour mieux assurer notre correspondance, J'ose recourir a l'entremise et a la protection de Son Excellence le Ministre de Saxe a Paris.
N.a M le Comte de Bunau ne pouvant Se charger d'un aussigros livre, Je vais le mettre a la diligence en l'affranchissant jusqu'au Rhin, et même jusque chez vous si cela est possible.
Je me trompe encore. C'est la poste même que je remets cette lettre, mais plus tard que la brochure qui est partie dès hier: Le tout pour etre rendu chez vous franc de port. d
le 6 novembre
Monsieur,
Notre Savant mineralogiste, M Patrin, ayant traité l'article Filon dans notre Nouveau Dictionnaire d'histoire naturelle, et ayant attaqué votre opinion pour mieux etablir la Sienne Sur ce sujet interessant, m'a fourni l'occasion de lui developer la mienne qui est fort differentes de toutes deux.
Comme J'ose vous impliquer dans cette note, J'ai l'honneur de Vous la communiquer franchement; non Seulement parceque Je crois devoir cet hommage a Votre grande celebrité; mais encore parceque cette note contenant un extrait de toute ma geologie; Je veux la Soumettre a vos profondes lumieres, et vous consulter même en vous contre disant; bien persuadé que l'amour de la Science et de la Verité Vous anime autant que moi , et plus que tout respect humain.
Vos lecons de mineralogie sont, Sans doute, les meilleurs qu'on puisse donner, d'après certain principe qui Se trouve etabli chez tout le monde Savant, comme axiôme fondamental. Mais J'en appele a Vous même, et a tout physicien qui ne veut admettre aucun axiôme Sans preuves Suffisantes. Qui est ce qui a pu ou pourra a Jamais nous prouver que le granit et toutes les pierres quartzeuses Sont des roches primitives? qui est ce qui, dans un mout aussi vague, pourroit voir une vraie definition? n'est il pas evident, au contraire, qu'il n'a eté inventé que comme synonime de indefinissables; et que, pour excuser l'impuissance ou l'on Se trouvoit de donner la moindre explication de ces faits naturels, on a Supposé qu'ils etoient d'une nature et d'une epoque imaginaires.
Je n'ai donc Jamais regardé cet axiome que comme une supposition très gratuite: et depuis tres longtems Je lui en ai Substituté un outre que tout naturaliste doit m'accorder; Savoir, qu'il n'y a point de pierre dqui ne provienne d'une terre préexistante ou d'un sel quelconque. A force d'appliquer cette grande Verité aux nombreuses observations que je n'ai cessé de faire sur l'envelope de la Terre, Je crois etre parvenu a rendre explicables toutes les pierres qui passoient pour ne l'etre pas. Ce qui Vous paroitra bien plus etonant, c'est que le calcaire est le Seul, a mon Sens, qui doive paroitre enigmatique.
A M. Werner Professeur d'histoire naturelle, a Freyberg.
[2] Cependant, nous nous accordons tous a le reconnoitre pour une production de l'ocean: mais J'ajoute que ce sur Sa production exclusive, primordiale, mere de toutes les autres, et consequemment inexplicable; car rien n'est plus mysterieux que l'action des forces Vitales, surtout celles d'une vie minerale dont, Selon moi, le globe etoit alors fortement animé, pour engendrer la terre par la conversion immediate de l'eau.
Les preuves, les details et les consequnces de mon Systême sont dispersés dans la Nouvelle geologie dont J'ai l'honneur de Vous offrir un exemplaire. Daignez l'accepter et la Juger, non après l'etat actuel de la mineralogie, mais en Supposant que cette science n'existeroit pas encore (pardonnez cette etrange supposition) qu'au moins il y aurois lieu, comme Je le crois, Je lui donner quelques nouvelles bases elementaires, pour ensuite y faire cadrer tout ce qu'il y a de vrai ou de positif dans les belles idées et observations dont vous l'avez enrichie.
Car il en est necessairement de même de la theorie de la Terre. Je tiens pour nulles toutes celles qui ont paru jusquá present, et celles qui paroitront , si elles ne sont pas fondées sur quelques uns de mes Nouveaux Principes; quoique moi même je ne les aye etablis que Sur les raisonnemens les plus communs, et dans le langage le plus Vulgaire: Mais encore un coup, c'est a vous que J'en appele; vous avouez Je crois, que Je ne pouvais pas ici me conforme d'avantage a la methode des savans sans deroger tout afair a celle de la nature, au nom de laquelle Je vou[s] prie d'excuser ma franchise ou ma temerité.
En attendant Votre avis et Votre Jugement Sur toutes ces nouveautés, J'ai l'honneur d'etre avec toute l'estime et la consideration possibles, Votre très humble et obeissant Serviteur ./. Bertrand impr. gal. des Ponts et Chaussées.
P.S. Pour mieux assurer notre correspondance, J'ose recourir a l'entremise et a la protection de Son Excellence le Ministre de Saxe a Paris.
N.a M le Comte de Bunau ne pouvant Se charger d'un aussigros livre, Je vais le mettre a la diligence en l'affranchissant jusqu'au Rhin, et même jusque chez vous si cela est possible.
Je me trompe encore. C'est la poste même que je remets cette lettre, mais plus tard que la brochure qui est partie dès hier: Le tout pour etre rendu chez vous franc de port. d
le 6 novembre
Paris, den 10. des Nebelmonats des Jahres 13, P. 9. November 1804.
Herr,
Unser mineralogischer Gelehrter, Hr. Patrin, welcher den Artikel "Erzgang" in unserem Neuen Wörterbuch der Naturgeschichte behandelt hat und der dabei Ihre Meinung angegriffen hat, um seine eigene über dieses interessante Thema besser erstellen zu können, gibt mir die Gelegenheit, meine eigene darüber zu entwickeln, die so anders ist als alle beide.
Wie ich in dieser Notiz wage zu bedeuten, habe ich die Ehre, diese Meinung Ihnen freiheraus mitzuteilen.; nicht nur, weil ich glaube diese in Anerkennung Ihrer großen Berühmtheit kund tun zu müssen, sondern auch, weil diese Notiz einen Auszug meiner ganzen Geologie enthält.; ich möchte diese Ihrer tiefsinningen Aufklärung vorlegen, und selbst wenn Sie sich dagegen aussprechen, Sie darüber zu Rate ziehen, weil ich davon überzeugt bin, dass die Liebe zur Wissenschaft und zur Wahrheit Sie genauso beseelt wie mich und mehr als jede menschliche Achtung.
Ihre Vorlesungen in der Mineralogie sind, ohne Zweifel, die besten, die man geben kann, und folgen einem bestimmten Grundsatz, der sich in der ganzen gelehrten Welt verbreitet findet, als das grundlegende Axiom. Aber ich appelliere an Sie und an jeden Physiker, der sich auf kein Axiom einläßt ohne hinlängliche Beweise. Wer ist derjenige der uns bewies oder der uns jemals beweisen wird, dass der Granit und alle quartzhaltigen Gesteine Urgesteine sind? Wer ist derjenige, mit einem so unklaren Wort, der eine wahre Begriffsbestimmung sehen könnte? Ist nicht im Gegenteil offensichtlich, dass es nur als Synonym für Undefinierbares erfunden wurde?Und dass es das Unvermögen entschuldigen soll, wo man die geringste Erklärung für diese natürlichen Tatsachen geben sollte, dass man annahm, sie seien imaginärer Art und Alter gewesen.
Ich habe also dieses Axiom als nie mehr als eine sehr billige Annahme betrachtet: und seit langem habe ich es durch eine andere ersetzt, bei der jeder Naturforscher mir zustimmen muß; zu wissen, dass es keinen Stein gibt, der nicht aus einer vorbestehenden Erde oder aus irgendeinem Salz entstammt. Durch ständiges Bemühungen, diese große Wahrheit auf viele Beobachtungen anzuwenden, die ich nicht nachlasse, hinsichtlich der Erdhülle zu machen, glaube ich es geschafft zu haben, alle diejenigen Steine zu erklären, die als nicht erklärbar galten. Was Ihnen noch erstaunlicher erscheinen mag, ist, dass der Kalkstein der einzige ist, meiner Meinung nach, der rätselhaft erscheinen mag.
An Hrn. Werner Professor der Naturgeschichte, in Freiberg.
Jedoch stimmen wir alle zu, dass wir ihn als vom Ozean erzeugt anerkennen: aber ich füge dies über seine ausschließliche Herstellung hinzu, die ausschlaggebend und Mutter aller anderen sowie unerklärbar ist; weil nichts geheimnisvoller ist als das Handeln der Lebenskräfte, besonders diejenigen des Minerallebens, wodurch, meines Erachtens, die Erdkugel also stark angeregt wurde, die Erde durch die unmittelbare Umwandlung von Wasser zu erschaffen.
Die Belege, die Einzelheiten und die Folgen meines Systems, sind über die Neue Geologie verstreut, von der ich die Ehre habe, Ihnen ein Exemplar zu schenken. Geruhen Sie, es anzunehmen und es zu beurteilen, nicht nach dem gegenwärtigen Zustand der Mineralogie, sondern unter der Annahme, dass diese Wissenschaft noch nicht existierte (entschuldigen Sie diese seltsame Annahme) dass es zumindest erfolgen möge, wie ich glaube, dass ich ihr einige neue elementare Grundlagen geben möge, in deren Folge all das, was es an Wahrem und Postiven dort gibt, in die schönen Ideen und Beobachtungen, mit denen Sie diese Wissenschaft bereichert haben, einzurahmen.
Weil es notwendigerweise dasselbe wie die Theorie der Erde ist. Ich halte alle, die bisher erschienen sind, und diejenigen, die erscheinen werden, für nichtig, wenn sie nicht auf einigen meiner Neuen Prinzipien beruhen; obwohl ich selbst sie nur auf den allgemeinsten Gedankengängen und in der einfachsten Redeweise gegründet habe: aber wiederum wende ich mich an Sie; Sie gestehen, glaube ich, dass ich mich hier nicht mehr nach dem Nutzen der Methode der Gelehrten richten konnte , ohne irgendeine Angelegenheit mit derjenigen der Natur zuwider zu handeln, in deren Namen ich bitte, meine Offenheit oder meinen Leichtsinn zu entschuldigen.
In Erwartung Ihrer Meinung und Ihres Urteils über alle diese Neuheiten, habe ich die Ehre mit aller möglichen Wertschätzung und Achtung zu sein Ihr sehr ergebener und gehorsamer Diener
Bertrand
Generalaufseher über Brücken und Strassen
P.S.: Um unseren Briefwechsel besser zu gewährleisten, wage ich die Vermittlung und den Schutz des Gesandten Sachsens in Paris in Anspruch zu nehmen.
Anm. Hr. Graf von Bünau kann sich nicht um ein solch großes Buch kümmern, Ich werde es bald auf die Postkutsche geben, frankiert bis an den Rhein, und sogar bis zu Ihnen nach Hause, wenn das möglich ist.
Ich habe mich wieder getäuscht. Es ist die Post selbst, der ich diesen Brief gebe, aber später als die Broschüre, die gestern abgegangen ist: das Alles für eine kostenlose Zustellung zu Ihnen nach Hause.
am 6. Novembre
Herr,
Unser mineralogischer Gelehrter, Hr. Patrin, welcher den Artikel "Erzgang" in unserem Neuen Wörterbuch der Naturgeschichte behandelt hat und der dabei Ihre Meinung angegriffen hat, um seine eigene über dieses interessante Thema besser erstellen zu können, gibt mir die Gelegenheit, meine eigene darüber zu entwickeln, die so anders ist als alle beide.
Wie ich in dieser Notiz wage zu bedeuten, habe ich die Ehre, diese Meinung Ihnen freiheraus mitzuteilen.; nicht nur, weil ich glaube diese in Anerkennung Ihrer großen Berühmtheit kund tun zu müssen, sondern auch, weil diese Notiz einen Auszug meiner ganzen Geologie enthält.; ich möchte diese Ihrer tiefsinningen Aufklärung vorlegen, und selbst wenn Sie sich dagegen aussprechen, Sie darüber zu Rate ziehen, weil ich davon überzeugt bin, dass die Liebe zur Wissenschaft und zur Wahrheit Sie genauso beseelt wie mich und mehr als jede menschliche Achtung.
Ihre Vorlesungen in der Mineralogie sind, ohne Zweifel, die besten, die man geben kann, und folgen einem bestimmten Grundsatz, der sich in der ganzen gelehrten Welt verbreitet findet, als das grundlegende Axiom. Aber ich appelliere an Sie und an jeden Physiker, der sich auf kein Axiom einläßt ohne hinlängliche Beweise. Wer ist derjenige der uns bewies oder der uns jemals beweisen wird, dass der Granit und alle quartzhaltigen Gesteine Urgesteine sind? Wer ist derjenige, mit einem so unklaren Wort, der eine wahre Begriffsbestimmung sehen könnte? Ist nicht im Gegenteil offensichtlich, dass es nur als Synonym für Undefinierbares erfunden wurde?Und dass es das Unvermögen entschuldigen soll, wo man die geringste Erklärung für diese natürlichen Tatsachen geben sollte, dass man annahm, sie seien imaginärer Art und Alter gewesen.
Ich habe also dieses Axiom als nie mehr als eine sehr billige Annahme betrachtet: und seit langem habe ich es durch eine andere ersetzt, bei der jeder Naturforscher mir zustimmen muß; zu wissen, dass es keinen Stein gibt, der nicht aus einer vorbestehenden Erde oder aus irgendeinem Salz entstammt. Durch ständiges Bemühungen, diese große Wahrheit auf viele Beobachtungen anzuwenden, die ich nicht nachlasse, hinsichtlich der Erdhülle zu machen, glaube ich es geschafft zu haben, alle diejenigen Steine zu erklären, die als nicht erklärbar galten. Was Ihnen noch erstaunlicher erscheinen mag, ist, dass der Kalkstein der einzige ist, meiner Meinung nach, der rätselhaft erscheinen mag.
An Hrn. Werner Professor der Naturgeschichte, in Freiberg.
Jedoch stimmen wir alle zu, dass wir ihn als vom Ozean erzeugt anerkennen: aber ich füge dies über seine ausschließliche Herstellung hinzu, die ausschlaggebend und Mutter aller anderen sowie unerklärbar ist; weil nichts geheimnisvoller ist als das Handeln der Lebenskräfte, besonders diejenigen des Minerallebens, wodurch, meines Erachtens, die Erdkugel also stark angeregt wurde, die Erde durch die unmittelbare Umwandlung von Wasser zu erschaffen.
Die Belege, die Einzelheiten und die Folgen meines Systems, sind über die Neue Geologie verstreut, von der ich die Ehre habe, Ihnen ein Exemplar zu schenken. Geruhen Sie, es anzunehmen und es zu beurteilen, nicht nach dem gegenwärtigen Zustand der Mineralogie, sondern unter der Annahme, dass diese Wissenschaft noch nicht existierte (entschuldigen Sie diese seltsame Annahme) dass es zumindest erfolgen möge, wie ich glaube, dass ich ihr einige neue elementare Grundlagen geben möge, in deren Folge all das, was es an Wahrem und Postiven dort gibt, in die schönen Ideen und Beobachtungen, mit denen Sie diese Wissenschaft bereichert haben, einzurahmen.
Weil es notwendigerweise dasselbe wie die Theorie der Erde ist. Ich halte alle, die bisher erschienen sind, und diejenigen, die erscheinen werden, für nichtig, wenn sie nicht auf einigen meiner Neuen Prinzipien beruhen; obwohl ich selbst sie nur auf den allgemeinsten Gedankengängen und in der einfachsten Redeweise gegründet habe: aber wiederum wende ich mich an Sie; Sie gestehen, glaube ich, dass ich mich hier nicht mehr nach dem Nutzen der Methode der Gelehrten richten konnte , ohne irgendeine Angelegenheit mit derjenigen der Natur zuwider zu handeln, in deren Namen ich bitte, meine Offenheit oder meinen Leichtsinn zu entschuldigen.
In Erwartung Ihrer Meinung und Ihres Urteils über alle diese Neuheiten, habe ich die Ehre mit aller möglichen Wertschätzung und Achtung zu sein Ihr sehr ergebener und gehorsamer Diener
Bertrand
Generalaufseher über Brücken und Strassen
P.S.: Um unseren Briefwechsel besser zu gewährleisten, wage ich die Vermittlung und den Schutz des Gesandten Sachsens in Paris in Anspruch zu nehmen.
Anm. Hr. Graf von Bünau kann sich nicht um ein solch großes Buch kümmern, Ich werde es bald auf die Postkutsche geben, frankiert bis an den Rhein, und sogar bis zu Ihnen nach Hause, wenn das möglich ist.
Ich habe mich wieder getäuscht. Es ist die Post selbst, der ich diesen Brief gebe, aber später als die Broschüre, die gestern abgegangen ist: das Alles für eine kostenlose Zustellung zu Ihnen nach Hause.
am 6. Novembre