[1] Notes Sur l'article Filon du Nouveau Dictionnaire d'Histoire naturelle, chez Deterville a Paris, Tom.8, page 478, ligne 14, adressées a l'auteur M. Patrin par M. Bertrand.
Dites nous donc quel etoit l'etat et la nature de cette montagne metallifere, avant qu'elle fût ainsi attaquée du poison ou de la peste: dites d'ou quand et comment ce mal a pu lui venir. Werner pouroit bien mieux que vous repondre a ces importantes questions; et il les resoudroit parfaitement Si, comme Je l'ai dit page 515 de mes Nouveaux Principes de Geologie*, il vouloit faire a sa Theorie generale quelques changemens pour la rapprocher de la mienne.
Jl dirait (en continuant Votre metaphore) que cette masse de terre originelle, par consequent, de calcaire vierge et horizontal, n'est devenue sujette a tant de maladies, que par un premier accident, une grande commotion Souterreine et Sans doute electrique, qui detruisant l'horizontalité des couches, et leur donnant toutes les inclinaisons possibles Jusqu'a la Verticale, les rendit et Schisteuses, c'est a dire plus ou moins delitées et feuilletées:
Que dans ce nouvel etat, elles se trouvoient Susceptiles des impregnées, fouillées, alterées, denaturées, par tous les Virus qui se Seront presentés Sur leur Tranche Superieure et entrouverte; et qui, pour y penetrer, n'avoient pas besoin de trouver une fente reelle, la quelle, d'ailleurs et comme vous dites tres bien, n'auroit Jamais pu exister, ni dans le parallelisme ni sur toute la longeur et la profondeur de ces couches:
Que de ces Virus etrangers, il y en a deux Surtout qu'on ne peut preconnoitre; savoir, un flux bitumineux qui a converti une partie de ces couches en filons de houille, et un flux quartzeux ou feld-spathique qui, Se combinant aussi avec le calcaire du 1.er âge, l'a converti en gneiss et autres Schistes plus ou moins vitreux, micacés, Les Seuls ou la chimie naturelle ait pu former ensuite les ganguer, gites ou filons metalliques.
Or, le bitume ne peut provenir que d'une combustien ignée; et le quartz, alors liquide, ne pouvoit être qu'une potasse, ou un flux lipiviel de coulant d'une masse de cendres, qui, necessairement aussi, provenoient de quelque embrasement En effet, les couches de houille, celles de pierre de cendre qu'on appele molace, celles de gneis et autres schistes quartzeux, Sont toujours dans le voisinage l'une de l'autre, et tres souvant superposées ou contigues. Ainsi, les plus grands mysteres de la Geo-mineralogie, Sur les quels on dispute tant, trouveront l'explication la plus satisfaisante dans mes antiques incendies et tremblemens de terre; deux phenomenes qui ont toujours du être concomitans, ou inseparables et l'effet d'une Seule cause, comme sont les petits et modernes exemples d'un genre analogue que nous appelons Volcaniques.
Ainsi donc, les huiles et les lessives, encore chaudes et peutetre bouillantes, coulans de differens côtés Sur les schistes, d'y insinueraontpar celles des tranches qui se trouvoient ou plus beantes ou plus disposées a les absorber. Ainsi dans le même canton, 50 60 et 100 couches purent etre infiltrées en même tems, du haut en bas, et sur de grandes longueurs, Soit a côté Soit plus et moins loins les unes des autres. Tandis que vous, et Werner êtes forcés de Supposer
* un seul Volume 8°, 1803. chez Maradan rue pavée St André N° 16.
[2] un intervalle de siecles innombrables entre la formation ou l'arivée de chacune de ces couches. Cependant Votre grand axiome, C'est que la Nature ne fait Jamais de Saut dans sa marche: Mais peut il y avoit un fait plus Saillant† et plus disparate que la couche de bitume, ou de quartz, ou de porphyre &c qui, Selon vous, Seroit venue après une tres longue periode, sur une infinité d'autres couches toutes de calcaire? et d'ailleurs, quoi de plus concevable que des Volcans qui, cachés sous l'ocean, y auroient des montagnes enormes de vase partie calcaire partie quartzeuse; et qui auroient encore periodiquement intercalé cette multitude de couches de bitume pur et liquid qui sont Si etendues, et dont l'epaisseur est si reguliere malgré leur grande inclina[ison]
Atout ce qui est dit ci-dessus J'ajoute que, tres certainement, toutes les lessives de cendre n'ont pas extravasé, que les cendres elles mêmes n'ont pas eté toutes entrainées et stratifiées en couches de molace; et ce qui restoit des unes et des autres au millieu du brasier eteint, y a formé necessairement une masse cristaline, ayant pour base la cendre dissoute et neutralisée unïquement dans ses propres sels; masse et concentration que tout le monde reconnoitroit avec moi dans le vrai granit,. Si tout le monde n'etoit pas imbu de la fausse doctrine des montagnes primitves. Si J'ai Su demontrer cette erreur generale, en expliquant la fameuse enigme du granit, J'ose dire que presque tous les autres articles de ma Geologie ne Seront plus que des corollaires.
Au Surplus, les roches metalliferes qui Vous paroissent plus ou moins attqués d'ulceres ou de caries, Sont des terres et des schistes qui n'ont Jamais eté entieremen[t] petrifiés ni mineralisés, faute des ingrediens ou des circonstances necessaires: car la de composition des Veritables pierres ne peut guere commencer que par la Surface, et encores que par l'action de quelque meteore atmospherique. Les exhalaisons souterraines ont pu favoriser leur mineralisation ou combinaison avec les fluides etrangers dont J'ai parlé; mais elles ne peuvent la detruire quoi qu'elles puissent etre délétres et même lethiferes pour les animaux et les Vegetaux.
Vous venez devoir, par extrait, le nouvelle solution que J'ai donnée des plus grands problemes de la mineralogie; quant a ceux de la geographie physique, en particulier, je crois aussi les avoir tous parfaitement resolus, au moyen de la fuite ou debacle de l'ocean universel, oautre catastrophe ou phenomene que Je tiens pour incontestable, quoique Vous le declariez impossible. Cependant, je dis bien comme Vous, que la mer diminue Journellement de hauteur , au moins de Volume; mais Je soutiens que cette depression graduelle ne peut servir a expliquer aucune des formes exterieures du globe.
/. Bertrand
† plus desordonné
Dites nous donc quel etoit l'etat et la nature de cette montagne metallifere, avant qu'elle fût ainsi attaquée du poison ou de la peste: dites d'ou quand et comment ce mal a pu lui venir. Werner pouroit bien mieux que vous repondre a ces importantes questions; et il les resoudroit parfaitement Si, comme Je l'ai dit page 515 de mes Nouveaux Principes de Geologie*, il vouloit faire a sa Theorie generale quelques changemens pour la rapprocher de la mienne.
Jl dirait (en continuant Votre metaphore) que cette masse de terre originelle, par consequent, de calcaire vierge et horizontal, n'est devenue sujette a tant de maladies, que par un premier accident, une grande commotion Souterreine et Sans doute electrique, qui detruisant l'horizontalité des couches, et leur donnant toutes les inclinaisons possibles Jusqu'a la Verticale, les rendit et Schisteuses, c'est a dire plus ou moins delitées et feuilletées:
Que dans ce nouvel etat, elles se trouvoient Susceptiles des impregnées, fouillées, alterées, denaturées, par tous les Virus qui se Seront presentés Sur leur Tranche Superieure et entrouverte; et qui, pour y penetrer, n'avoient pas besoin de trouver une fente reelle, la quelle, d'ailleurs et comme vous dites tres bien, n'auroit Jamais pu exister, ni dans le parallelisme ni sur toute la longeur et la profondeur de ces couches:
Que de ces Virus etrangers, il y en a deux Surtout qu'on ne peut preconnoitre; savoir, un flux bitumineux qui a converti une partie de ces couches en filons de houille, et un flux quartzeux ou feld-spathique qui, Se combinant aussi avec le calcaire du 1.er âge, l'a converti en gneiss et autres Schistes plus ou moins vitreux, micacés, Les Seuls ou la chimie naturelle ait pu former ensuite les ganguer, gites ou filons metalliques.
Or, le bitume ne peut provenir que d'une combustien ignée; et le quartz, alors liquide, ne pouvoit être qu'une potasse, ou un flux lipiviel de coulant d'une masse de cendres, qui, necessairement aussi, provenoient de quelque embrasement En effet, les couches de houille, celles de pierre de cendre qu'on appele molace, celles de gneis et autres schistes quartzeux, Sont toujours dans le voisinage l'une de l'autre, et tres souvant superposées ou contigues. Ainsi, les plus grands mysteres de la Geo-mineralogie, Sur les quels on dispute tant, trouveront l'explication la plus satisfaisante dans mes antiques incendies et tremblemens de terre; deux phenomenes qui ont toujours du être concomitans, ou inseparables et l'effet d'une Seule cause, comme sont les petits et modernes exemples d'un genre analogue que nous appelons Volcaniques.
Ainsi donc, les huiles et les lessives, encore chaudes et peutetre bouillantes, coulans de differens côtés Sur les schistes, d'y insinueraontpar celles des tranches qui se trouvoient ou plus beantes ou plus disposées a les absorber. Ainsi dans le même canton, 50 60 et 100 couches purent etre infiltrées en même tems, du haut en bas, et sur de grandes longueurs, Soit a côté Soit plus et moins loins les unes des autres. Tandis que vous, et Werner êtes forcés de Supposer
* un seul Volume 8°, 1803. chez Maradan rue pavée St André N° 16.
[2] un intervalle de siecles innombrables entre la formation ou l'arivée de chacune de ces couches. Cependant Votre grand axiome, C'est que la Nature ne fait Jamais de Saut dans sa marche: Mais peut il y avoit un fait plus Saillant† et plus disparate que la couche de bitume, ou de quartz, ou de porphyre &c qui, Selon vous, Seroit venue après une tres longue periode, sur une infinité d'autres couches toutes de calcaire? et d'ailleurs, quoi de plus concevable que des Volcans qui, cachés sous l'ocean, y auroient des montagnes enormes de vase partie calcaire partie quartzeuse; et qui auroient encore periodiquement intercalé cette multitude de couches de bitume pur et liquid qui sont Si etendues, et dont l'epaisseur est si reguliere malgré leur grande inclina[ison]
Atout ce qui est dit ci-dessus J'ajoute que, tres certainement, toutes les lessives de cendre n'ont pas extravasé, que les cendres elles mêmes n'ont pas eté toutes entrainées et stratifiées en couches de molace; et ce qui restoit des unes et des autres au millieu du brasier eteint, y a formé necessairement une masse cristaline, ayant pour base la cendre dissoute et neutralisée unïquement dans ses propres sels; masse et concentration que tout le monde reconnoitroit avec moi dans le vrai granit,. Si tout le monde n'etoit pas imbu de la fausse doctrine des montagnes primitves. Si J'ai Su demontrer cette erreur generale, en expliquant la fameuse enigme du granit, J'ose dire que presque tous les autres articles de ma Geologie ne Seront plus que des corollaires.
Au Surplus, les roches metalliferes qui Vous paroissent plus ou moins attqués d'ulceres ou de caries, Sont des terres et des schistes qui n'ont Jamais eté entieremen[t] petrifiés ni mineralisés, faute des ingrediens ou des circonstances necessaires: car la de composition des Veritables pierres ne peut guere commencer que par la Surface, et encores que par l'action de quelque meteore atmospherique. Les exhalaisons souterraines ont pu favoriser leur mineralisation ou combinaison avec les fluides etrangers dont J'ai parlé; mais elles ne peuvent la detruire quoi qu'elles puissent etre délétres et même lethiferes pour les animaux et les Vegetaux.
Vous venez devoir, par extrait, le nouvelle solution que J'ai donnée des plus grands problemes de la mineralogie; quant a ceux de la geographie physique, en particulier, je crois aussi les avoir tous parfaitement resolus, au moyen de la fuite ou debacle de l'ocean universel, oautre catastrophe ou phenomene que Je tiens pour incontestable, quoique Vous le declariez impossible. Cependant, je dis bien comme Vous, que la mer diminue Journellement de hauteur , au moins de Volume; mais Je soutiens que cette depression graduelle ne peut servir a expliquer aucune des formes exterieures du globe.
/. Bertrand
† plus desordonné
Anmerkungen zum Artikel "Erzgang" des Nouveau Dictionnaire d'Histoire naturelle (Neues Wörterbuch der Naturgeschichte), verlegt bei Deterville zu Paris, Bd. 8, Seite 478, Zeile 14, gerichtet an den Autor, Hrn. Patrin, von Hrn. Bertrand.
Erzählen Sie uns also wie der Zustand und die Beschaffenheit dieses metallhaltigen Berges war, bevor er von Gift oder der Pest angegriffen wurde: sagen Sie von wo aus, wann und wie ihm dieses Übel zustoßen konnte. Werner könnte besser als Sie auf diese wichtigen Fragen antworten; und er könnte sie klären, wenn, wie ich auf Seite 515 meiner Nouveaux Principes de Geologie (Neue Prinzipien der Geologie) sage, er seine gesamte Theorie einigen Veränderungen unterwerfen möchte, um sich meiner Theorie anzunähern.
Er würde sagen (um Ihr Wortbild fortzuführen), dass diese Masse uranfänglicher Erde, aus unberührtem, horiziontalem Kalkstein, nur deshalb für so viel Krankheiten anfällig geworden ist als durch einen ersten Unfall, einen unterirdischen Schock und ohne Zweifel elektrischer Art, die die Horizontalität der Schichten zerstören und ihnen alle möglichen Neigungen bis zur Vertikalen geben, sie schiefrig gemacht haben, dass heißt mehr oder weniger zerfallen und zerblättert:
In diesem neuen Zustand finden sich die Schichten anfällig durchtränkt, durchwühlt , verändert, verfälscht zu werden von Viren, die sich an der oberen Schicht zeigen, halboffen, und die, um hier einzudringen, keine wirkliche Ritze finden mussten, welche, wie Sie übrigens sehr richtig sagen, niemals hätte existieren können weder im gleichmäßigen Aufbau noch in der ganzen Länge und Tiefe dieser Schichten:
Von diesen fremden Viren gibt es zwei besonders, die man mich nicht vorher kennen kann; zu wissen, dass ein bituminöser Strom, der einen Teil dieser Schichten in Steinkohlegänge umgewandelt hat, und ein quarzhaltiger oder feldspathaltiger Strom, der sich ebenfalls mit dem Kalk des ersten Zeitalters verbindet , ihn in Gneiss oder Schieferarten umgewandelt hat, mehr oder weniger glasartig und glimmerartig. Sie allein oder die natürliche Chemie könnte dann die Gangarten, die Fundorte oder metallhaltigen Erzgänge bilden.
Gold, das Erdpech kann nur von einer Vulkanverbrennung kommen; und der Quarz, also flüssig, könnte nur Pottasche sein oder ein Strom, ausgelaugt aus einer Aschenmasse, die notwendigerweise auch von einer Feuersbrunst stammen. Tatsächlich sind die Steinkohleschichten, die diejenigen die Schichten der Kohle, diejenigen von Steinasche, die man Sandsteinmolasse nennt, diejenigen von Gneis und anderen Quarzschieferarten befinden sich immer in der Nachbarschaft des einen und des anderen und dies sehr oft übereinandergelagert oder aneinandergrenzend. So werden die größten Geheimnisse der Geo-Mineralogie, über die wir so viel streiten, die befriedigendste Erklärung in meinen alten Feuern und Erdbeben finden; zwei Phänomene, die immer gleichzeitig oder unzertrennlich sein mußten, und die die Auswirkung einer einzigen Ursache sein mußten, wie die kleinen und modernen Beispiele einer analogen Art, die wir vulkanisch nennen.
So dringen die Öle und Laugen, immer noch heiß und vielleicht kochend, emporquellend von verschiedenen Seiten auf die Schieferarten, durch diejenigen Scheiben ein, die mehr offen stehen oder mehr geneigt waren, sie zu absorbieren.
So im selben Abschnitt, 50, 60 und 100 Schichten könnten gleichzeitig von oben nach unten und über weite Entfernungen durchdrungen werden, Sei es nebenan oder mehr oder weniger näher zueinander sein. Während Sie und Werner gezwungen sind, davon auszugehen,
* ein einziger Band, Oktav, 1803. Bei Maradan, rue pavée St André nr. 16.
dass ein Intervall von unzähligen Jahrhunderten zwischen der Bildung oder der Ausbildung jeder dieser Schichten liegt.
Ihr großes Axiom ist jedoch, dass die Natur niemals in ihren Marsch (Argumentation) springt: aber könnte es eine hervorstechendere, unordentlichere und unordentlichere Sache geben u als die Bitumenschicht oder die des Quarz oder des Porphyrs usw.? Kommt, Ihnen zufolge, nach einer sehr langen Zeit auf einer Unendlichkeit von anderen Schichten nur Kalkstein? Und außerdem, was könnte denkbarer sein als Vulkane, die, unter dem Ozean verborgen, riesige Berge von Schlick Teil teilweise aus Kalkstein, teilweise aus Quarz haben würden? Und wer hätte diese Vielzahl von Schichten des reinen und flüssigen Bitumens, die so umfangreich sind, und dessen Dicke trotz ihrer großen Neigung so regelmäßig ist, periodisch eingeschoben?
Zu allem oben gesagtem füge ich hinzu, dass ganz sicherlich alle Aschenwaschmittel nicht ausgetreten sind, dass die Aschen nicht alle selbst nicht weggeschwemmt und in Schichten von Molasse abgelagert worden sind; und dass was vom einen und vom anderen in der Mitte des ausgeloschenen Kohlenglut noch übrig war, bildete dort notwendigerweise eine kristalline Masse, die auf der Asche basiert, die einzig in ihren eigenen Salzen gelöst und neutralisiert worden war; Masse und Konzentration kennt mit mir alle Welt als den wahren Granit. Wenn alle Welt nicht von der falschen Lehre der uranfänglichen Berge erfüllt wäre. Wenn ich diesen allgemeinen Irrtum wußte aufzuzeigen, indem ich das berühmte Rätsel des Granits erklärt habe, wage ich zu sagen, dass fast alle anderen Artikel meiner Geologie nur Schlußfolgerungen sind.
Außerdem sind die metallhaltigen Gesteine, die Ihnen mehr oder weniger von Geschwüren oder von Karies angegriffen erscheinen, Erden und Schieferarten, die nie vollständig versteinert oder mineralisiert wurden mangels Zutaten oder der notwendigen Umstände: denn die Zusammensetzung der wahren Steine kann nur mit der Oberfläche beginnen, und noch immer durch die Wirkung eines Meteors aus der Atmosphäre. Die unterirdischen Ausatmungen mögen ihre Mineralisierung oder Kombination mit den fremden Flüssigkeiten begünstigt haben, von denen ich sprach; aber sie können die Steinzusammensetzung nicht zerstören, wie schädlich und sogar tödlich die Ausdünstungen auch immer für Tiere und Pflanzen sein mögen.
Sie sind, auszugsweise, an die neue Lösung gekommen, die ich von den größten Problemen der Mineralogie gab, was diejenigen der physischen Geographie betrifft, denke ich auch, dass ich sie alle gekonnt gelöst habe, mittels Auslaufens oder des Eisgangs des Urmeers (universalen Ozeans), andere Katastrophe oder Phänomen das ich für unbestreitbar halte, obwohl Sie es für unmöglich erklären. Allerdings sage ich wohl, wie Sie, dass das Meer an Höhe von Tag zu Tag abnimmt, zumindest vom Volumen her; aber ich behaupte, dass diese allmähliche Absenkung nicht dazu dienen kann, irgendeine der äußeren Formen der Erdkugel zu erklären
./. Bertrand
Erzählen Sie uns also wie der Zustand und die Beschaffenheit dieses metallhaltigen Berges war, bevor er von Gift oder der Pest angegriffen wurde: sagen Sie von wo aus, wann und wie ihm dieses Übel zustoßen konnte. Werner könnte besser als Sie auf diese wichtigen Fragen antworten; und er könnte sie klären, wenn, wie ich auf Seite 515 meiner Nouveaux Principes de Geologie (Neue Prinzipien der Geologie) sage, er seine gesamte Theorie einigen Veränderungen unterwerfen möchte, um sich meiner Theorie anzunähern.
Er würde sagen (um Ihr Wortbild fortzuführen), dass diese Masse uranfänglicher Erde, aus unberührtem, horiziontalem Kalkstein, nur deshalb für so viel Krankheiten anfällig geworden ist als durch einen ersten Unfall, einen unterirdischen Schock und ohne Zweifel elektrischer Art, die die Horizontalität der Schichten zerstören und ihnen alle möglichen Neigungen bis zur Vertikalen geben, sie schiefrig gemacht haben, dass heißt mehr oder weniger zerfallen und zerblättert:
In diesem neuen Zustand finden sich die Schichten anfällig durchtränkt, durchwühlt , verändert, verfälscht zu werden von Viren, die sich an der oberen Schicht zeigen, halboffen, und die, um hier einzudringen, keine wirkliche Ritze finden mussten, welche, wie Sie übrigens sehr richtig sagen, niemals hätte existieren können weder im gleichmäßigen Aufbau noch in der ganzen Länge und Tiefe dieser Schichten:
Von diesen fremden Viren gibt es zwei besonders, die man mich nicht vorher kennen kann; zu wissen, dass ein bituminöser Strom, der einen Teil dieser Schichten in Steinkohlegänge umgewandelt hat, und ein quarzhaltiger oder feldspathaltiger Strom, der sich ebenfalls mit dem Kalk des ersten Zeitalters verbindet , ihn in Gneiss oder Schieferarten umgewandelt hat, mehr oder weniger glasartig und glimmerartig. Sie allein oder die natürliche Chemie könnte dann die Gangarten, die Fundorte oder metallhaltigen Erzgänge bilden.
Gold, das Erdpech kann nur von einer Vulkanverbrennung kommen; und der Quarz, also flüssig, könnte nur Pottasche sein oder ein Strom, ausgelaugt aus einer Aschenmasse, die notwendigerweise auch von einer Feuersbrunst stammen. Tatsächlich sind die Steinkohleschichten, die diejenigen die Schichten der Kohle, diejenigen von Steinasche, die man Sandsteinmolasse nennt, diejenigen von Gneis und anderen Quarzschieferarten befinden sich immer in der Nachbarschaft des einen und des anderen und dies sehr oft übereinandergelagert oder aneinandergrenzend. So werden die größten Geheimnisse der Geo-Mineralogie, über die wir so viel streiten, die befriedigendste Erklärung in meinen alten Feuern und Erdbeben finden; zwei Phänomene, die immer gleichzeitig oder unzertrennlich sein mußten, und die die Auswirkung einer einzigen Ursache sein mußten, wie die kleinen und modernen Beispiele einer analogen Art, die wir vulkanisch nennen.
So dringen die Öle und Laugen, immer noch heiß und vielleicht kochend, emporquellend von verschiedenen Seiten auf die Schieferarten, durch diejenigen Scheiben ein, die mehr offen stehen oder mehr geneigt waren, sie zu absorbieren.
So im selben Abschnitt, 50, 60 und 100 Schichten könnten gleichzeitig von oben nach unten und über weite Entfernungen durchdrungen werden, Sei es nebenan oder mehr oder weniger näher zueinander sein. Während Sie und Werner gezwungen sind, davon auszugehen,
* ein einziger Band, Oktav, 1803. Bei Maradan, rue pavée St André nr. 16.
dass ein Intervall von unzähligen Jahrhunderten zwischen der Bildung oder der Ausbildung jeder dieser Schichten liegt.
Ihr großes Axiom ist jedoch, dass die Natur niemals in ihren Marsch (Argumentation) springt: aber könnte es eine hervorstechendere, unordentlichere und unordentlichere Sache geben u als die Bitumenschicht oder die des Quarz oder des Porphyrs usw.? Kommt, Ihnen zufolge, nach einer sehr langen Zeit auf einer Unendlichkeit von anderen Schichten nur Kalkstein? Und außerdem, was könnte denkbarer sein als Vulkane, die, unter dem Ozean verborgen, riesige Berge von Schlick Teil teilweise aus Kalkstein, teilweise aus Quarz haben würden? Und wer hätte diese Vielzahl von Schichten des reinen und flüssigen Bitumens, die so umfangreich sind, und dessen Dicke trotz ihrer großen Neigung so regelmäßig ist, periodisch eingeschoben?
Zu allem oben gesagtem füge ich hinzu, dass ganz sicherlich alle Aschenwaschmittel nicht ausgetreten sind, dass die Aschen nicht alle selbst nicht weggeschwemmt und in Schichten von Molasse abgelagert worden sind; und dass was vom einen und vom anderen in der Mitte des ausgeloschenen Kohlenglut noch übrig war, bildete dort notwendigerweise eine kristalline Masse, die auf der Asche basiert, die einzig in ihren eigenen Salzen gelöst und neutralisiert worden war; Masse und Konzentration kennt mit mir alle Welt als den wahren Granit. Wenn alle Welt nicht von der falschen Lehre der uranfänglichen Berge erfüllt wäre. Wenn ich diesen allgemeinen Irrtum wußte aufzuzeigen, indem ich das berühmte Rätsel des Granits erklärt habe, wage ich zu sagen, dass fast alle anderen Artikel meiner Geologie nur Schlußfolgerungen sind.
Außerdem sind die metallhaltigen Gesteine, die Ihnen mehr oder weniger von Geschwüren oder von Karies angegriffen erscheinen, Erden und Schieferarten, die nie vollständig versteinert oder mineralisiert wurden mangels Zutaten oder der notwendigen Umstände: denn die Zusammensetzung der wahren Steine kann nur mit der Oberfläche beginnen, und noch immer durch die Wirkung eines Meteors aus der Atmosphäre. Die unterirdischen Ausatmungen mögen ihre Mineralisierung oder Kombination mit den fremden Flüssigkeiten begünstigt haben, von denen ich sprach; aber sie können die Steinzusammensetzung nicht zerstören, wie schädlich und sogar tödlich die Ausdünstungen auch immer für Tiere und Pflanzen sein mögen.
Sie sind, auszugsweise, an die neue Lösung gekommen, die ich von den größten Problemen der Mineralogie gab, was diejenigen der physischen Geographie betrifft, denke ich auch, dass ich sie alle gekonnt gelöst habe, mittels Auslaufens oder des Eisgangs des Urmeers (universalen Ozeans), andere Katastrophe oder Phänomen das ich für unbestreitbar halte, obwohl Sie es für unmöglich erklären. Allerdings sage ich wohl, wie Sie, dass das Meer an Höhe von Tag zu Tag abnimmt, zumindest vom Volumen her; aber ich behaupte, dass diese allmähliche Absenkung nicht dazu dienen kann, irgendeine der äußeren Formen der Erdkugel zu erklären
./. Bertrand